Varennes (Haute-Garonne)

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Varennes
Varennes (Haute-Garonne)
Rue principale
Blason de Varennes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Sicoval
Maire
Mandat
Philippe Goux
2020-2026
Code postal 31450
Code commune 31568
Démographie
Gentilé Varennais
Population
municipale
261 hab. (2021 en diminution de 0,76 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 41″ nord, 1° 41′ 20″ est
Altitude Min. 196 m
Max. 273 m
Superficie 4,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Escalquens
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Varennes
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Varennes
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Varennes
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Varennes
Liens
Site web Site officiel

Varennes est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Visenc et par divers autres petits cours d'eau.

Varennes est une commune rurale qui compte 261 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Varennais ou Varennaises.

Enregistrée sous le nom de Varennes par l'INSEE et le code postal, le nom historique de la commune est Les Varennes. Ce nom apparaît sur les plaques d'entrée et sortie de village.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Varennes se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 24 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 11 km d'Escalquens[2], bureau centralisateur du canton d'Escalquens dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Caraman[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Mourvilles-Basses (1,6 km), Labastide-Beauvoir (1,9 km), Mauremont (2,3 km), Caragoudes (2,7 km), Saint-Germier (3,7 km), Tarabel (4,0 km), Trébons-sur-la-Grasse (4,1 km), Toutens (4,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Varennes fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].

Varennes est limitrophe de cinq autres communes. Les communes limitrophes sont Mourvilles-Basses, Labastide-Beauvoir, Mauremont, Saint-Germier et Trébons-sur-la-Grasse.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 461 hectares ; son altitude varie de 196 à 273 mètres[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Varennes.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau de Visenc, le ruisseau de l'Albarède, le ruisseau de la Marque, le ruisseau d'en Combes et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 771 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 5,5 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ségreville à 5 km à vol d'oiseau[11], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,6 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Varennes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[18],[I 2],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,9 %), zones agricoles hétérogènes (23,1 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ligne 201 du réseau Tisséo relie la commune au quartier Malepère de Toulouse, en correspondance avec le BHNS Linéo L7 vers le centre-ville de Toulouse, et la ligne 357 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Revel.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Varennes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1999 et 2009[23],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Varennes.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 94 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 110 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 101 sont en aléa moyen ou fort, soit 92 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2011, 2012 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Varennes est issu du gaulois varrenna, dérivé du gaulois hypothétique *varros « poteau », d'où varenne (occitan varenna). Il s'agit du même terme que le français garenne, mais sans l'influence du germanique sur la consonne initiale v cf. occitan vesc « gui », français gui de même étymologie.

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

La terre des Varennes, baronnie qui dépendait du comte de Foix, a été confisquée en 1398 par Charles VI, roi de France, sur Arnaud de Château-Verdun, à l'occasion de la succession de Gaston Fébus, comte de Foix, après le décès de Mathieu de Castelbon, comte de Foix, vicomte de Béarn, époux de Jeanne, infante d’Aragon, qui n'avait pas laissé de dispositions testamentaires (1391). Le fils unique de Gaston Fébus avait été tué accidentellement par son père dans un accès de colère.

Les Varennes à cette époque étaient administrées par un bailli et trois consuls, dont un noble, avec des annexes dont Mourvilles-Basses, Saint-Germier, une partie de Mauremont et Esquille dans Trébons. Esquille était une petite commune située entre Mauremont, Saint-Germier et les Varennes. Arrivés aux Varennes, les deux agents du roi sont obligés de s'adresser au bayle du village qui représentait le seigneur, faute de n'avoir pu rencontrer les consuls qui étaient allés assister à une noce à Mourville. Ils destituèrent le bayle en tant que représentant d'Arnaud de Château-Verdun, et le nommèrent représentant du roi. En signe de prise de possession au nom du roi, après avoir adressé un inventaire des biens d'Arnaud, ils firent clouer une fleur de lys sur la porte de la maison du seigneur appelée fortulatum[26].

C'est le que la terre des Varennes fut donnée à Pierre de Puybusque qui avait joué dans l'affaire de la succession de Foix un rôle important, et qui avait déjà Maurémont.

En 1521 François de Saint-Félix épousa Antoinette de Puybusque qui lui apporta en dot diverses terres dont les Varennes.
En 1582, son petit-fils, Claude, fit construire le château actuel, probablement à l'emplacement du fortulatum dont il est parlé en 1398, sur les plans et devis de Dominique Bachelier, fils de l'architecte Nicolas Bachelier.

À cette époque en effet, le Lauragais est appelé Pays de Cocagne en raison de la richesse apportée par le pastel. Le château des Varennes est l'un des célèbres châteaux du pastel en Lauragais[27]. La richesse apportée par cette plante lui vaut aussi l'un des premiers impôts sur la fortune à l'occasion de l'attribution d'office de ses armoiries par d'Hozier à la suite de l'édit de 1696, à moins que ce soit l'effet de la richesse apportée par le froment.

À la suite de l'achèvement de la construction du canal du Midi en 1681, une nouvelle richesse bénéficie en effet au village. Au XVIIIe siècle le château devient l'un des châteaux du froment. Il est alors modifié par la construction d'une cour en fer à cheval ; dans cette cour, une centaine d'anneaux en fer servent à attacher les chevaux lors des foires. Côté sud, le château des Varennes s'ouvre sur un parc de trois hectares avec une belle vue sur les coteaux du Lauragais et au loin la chaîne des Pyrénées.

Le château des Varennes est resté dans la famille des Saint-Félix jusqu'au XVIIIe siècle, puis toujours dans la même famille par descendance féminine jusqu'à aujourd'hui[28], où 23 générations de la même famille se sont succédé. La famille vit dans une partie du château et certaines chambres d'hôtes sont disponibles.

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

En 1845, la commune des Varennes fut adjointe à la commune de Trébons comme ne pouvant se suffire à elle-même.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Varennes

Son blasonnement est : Échiqueté d'azur et d'or.

Les armes des Varennes ont été attribuées par d'Hozier en 1696[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 100 habitants et 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de onze[30],[31].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Commune faisant partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne, du Sicoval et du canton d'Escalquens (avant le redécoupage départemental de 2014, Varennes faisait partie de l'ex-canton de Montgiscard).

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Emmeline de Villèle    
mars 2001 mars 2008 Luis Larios SE  
mars 2008 octobre 2018 Yves Mugnier DVG[32] Retraité
décembre 2018 En cours Philippe Goux[33]   Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 261 habitants[Note 4], en diminution de 0,76 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
198205267210273233314305299
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
287271236239224194198200201
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
180163159133140117122125118
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
10993117125156198247256268
2021 - - - - - - - -
261--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[38] 1975[38] 1982[38] 1990[38] 1999[38] 2006[39] 2009[40] 2013[41]
Rang de la commune dans le département 435 421 417 391 340 338 339 342
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 99 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 251 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 25 860 [I 5] (23 140  dans le département[I 6]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 5,3 % 3,4 % 5,1 %
Département[I 8] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 181 personnes, parmi lesquelles on compte 77,5 % d'actifs (72,5 % ayant un emploi et 5,1 % de chômeurs) et 22,5 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 34 emplois en 2018, contre 31 en 2013 et 31 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 134, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 65,6 %[I 11].

Sur ces 134 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 20 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 87,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,1 % les transports en commun, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités[modifier | modifier le code]

19 établissements[Note 7] sont implantés à Varennes au [I 14]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,6 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 19 entreprises implantées à Varennes), contre 19,8 % au niveau départemental[I 15]. Aucune exploitation agricole ayant son siège dans la commune n'est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 8] (onze en 1988)[44],[Carte 5].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Varennes fait partie de l'académie de Toulouse.

Scolarité : les enfants du primaire sont scolarisés sur le regroupement pédagogique intercommunal (RPI). Les communes de Cessales, Trébons-sur-la-Grasse, Mauremont et Les Varennes accueillent les enfants selon leur classe. Les élèves du collège sont scolarisés à Villefranche-de-Lauragais.

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du Sicoval[45].

Transports

Le village de Varennes est desservi par la ligne de bus 201 de Tisséo, offrant un service régulier vers Toulouse tout au long de la journée du lundi au vendredi.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43]
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Varennes » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Varennes » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Varennes » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Varennes » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Varennes » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Varennes » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Varennes et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Varennes et Escalquens », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Varennes », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Varennes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Varennes et Ségreville », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  13. « Station Météo-France « Ségreville » (commune de Ségreville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Varennes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Varennes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des espaces protégés sur la commune de Varennes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Varennes », sur Géorisques (consulté le ).
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